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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 20:16
Samedi 21 novembre 2009, 20 h 30 , église de Poussignac.

A 6 km de Bouglon, à 20 km de Marmande, à 52 km d’Agen.

 

L’église de Poussignac date du XIVe et du XVIe siècles. Elle est toute recouverte d’une belle voûte en pierre. Il y a trois chapelles. Deux sont respectivement dédiées à la Sainte Vierge et à Saint Joseph. Dans la troisième se trouvent les fonts baptismaux et le confessionnal.

 

Ce soir là le groupe vocal " Otxote Lurra" vient y présenter 12 chants basques. Difficile de raconter avec des mots ce groupe de chanteurs professionnels d'art lyrique qui viennent nous faire partager leur passion pour la langue, la musique, la culture basque. Deux cents à deux cent cinquante personnes dans la petite église et très vite des torrents d'applaudissements, deux "standing ovations" spontanées, des frissons dans tout le corps, des émotions qui font monter les larmes aux yeux. Que des voix d'hommes mais quelles voix! Chaudes, graves, moins graves, douces, fortes, étonnantes, émouvantes, captivantes. Un vrai régal. Un vrai moment de bonheur. Et puis quand c'est fini l'impression que c'était trop court suivi de l'envie de les écouter à nouveau à la première occasion. Retour dans la nuit à la maison avec des images, des sons en tête et un sentiment agréable de paix intérieure.

 

Pour en savoir plus cliquer ICI.

 

 


 

Source photo: cliquer ici.

 


 

 

 

 

 

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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 18:18

En 1910 André, mon grand père, étudie en Allemagne. Son ami Karl le sauve d'une bagarre d'étudiants violents.
En 1913 André épouse Madeleine. En 1914 ils ont un fils Pierre.
En 1914 André et Karl partent se battre l'un contre l'autre. Ne pas y aller ? Ç'aurait été la honte et la mort.
André est par chance (!) blessé en 1917, sa guerre est finie.
Juin 1940, Pierre est tué dans les Vosges, laissant une jeune veuve et deux enfants, dont l'un à naître.
En 1960 André retrouve la veuve de son ami Karl et accompagne son petit fils Vincent en Allemagne chez Dietrich, petit fils de Karl qui devient le correspondant de Vincent.
Entre 1960 et 1965 Dietrich séjourne chaque été chez André et Madeleine.
Cent ans de l'histoire de deux familles : Vincent et Dietrich sont toujours en contact. Comprenez que j'aime ma patrie, ma famille, l'Allemagne et la paix.
Vincent.

Posté par: V & D : un siècle de France-Allemagne | le 12 novembre 2009 à 07:02

@V et D
M'autorisez-vous à faire un copier coller de votre commentaire ci-dessus et à le faire connaître autour de moi ? Et je précise sans intention de le dénaturer et de le désapprouver mais parce qu'au contraire je pense qu'il est exemplaire et à faire lire.

Posté par: jf sadys | le 12 novembre 2009 à 10:33

Oui, jf sadys, je vous autorise d'autant que cette histoire familiale est absolument authentique. Seuls deux prénoms ont été changés.
Un regret : Dietrich s'est marié, a été veuf, puis s'est remarié, mais il n'a pas eu d'enfants. Mes deux fils et ma fille ont étudié l'allemand, je regrette qu'ils n'aient pu correspondre avec un enfant de Dietrich.
J'entends encore Dietrich, à 16 ans, demander à ma grand-mère : " Madame, détestez-vous les Allemands ? " Et elle qui, jeune mariée et jeune mère, a vu son mari partir à la guerre pour presque 4 ans et qui, de sa vie, ne s'est jamais remise d'avoir perdu son fils aîné en 40, de répondre : " Serais-tu chez moi si c'était le cas ? "
Dans mon enfance, un refrain était à la mode qui disait : " T'en fais pas la Marie, t'es jolie, t'en fais pas la Marie, je r'viendrai. " Notre fratrie et tout le cousinage avaient reçu des parents la consigne absolue de ne jamais chanter cela en présence de notre grand-mère. Car cette femme énergique et d'une maîtrise totale pouvait fondre en larmes à ce refrain.

Posté par: V & D | le 12 novembre 2009 à 14:50

Source: le blog d'Alain Bladuche Delage, journaliste à " La Croix".



Source photo: Flickr

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 20:37


La tarde equivocada
se vistió de frío.

Detrás de los cristales
turbios, todos los niños
ven convertirse en pájaros
un árbol amarillo.

La tarde está tendida
a lo largo del río,
y un rubor de manzana
tiembla en los tejadillos.


Federico García Lorca .

1898-1936



Photo perso à Saurines près de Saint Martin de Curton, 47.
Novembre 2009
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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 23:24

... ne doit pas nous faire oublier les murs en construction...



Nous sommes tous des Mexicains.

Somos todos Mexicanos.

Nous sommes tous des Palestiniens.

كلنا فلسطينيون

 

 

 

 

Source photo: Flickr.

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6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 10:51



Etre prêt
Ce n'est pas être préparé;
Ce n'est pas avoir tout prévu;
Cela est impossible.
Personne ne peut le faire.

Etre prêt
C'est accepter la vie,
Toute la vie,
Telle qu'elle vient à nous;
Avec ce qu'elle a de plus beau et de plus triste. 

Extrait du " Livre du Lézard" de Mère Térésa.

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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 11:00

Depuis quelques jours les abords des cimetières voient l’arrivée des chrysanthèmes et d’autres plantes qui annoncent le retour des célébrations du souvenir.

Parmi les défunts auxquels je pense particulièrement ces jours-ci et que je porte dans ma prière il y a les victimes d’une nouvelle « pandémie » : ceux que les conditions de travail conduisent à la mort, ceux qui, poussés par des conditions inhumaines, désespérés, se tuent : à France Télécom, à l’entreprise Thalès et dans d’autres entreprises… Qui plaidera pour eux ? Qui dira qu’ils sont morts sous la contrainte ? Qui reconnaîtra qu’ils sont sacrifiés à des idoles mortifères : la rentabilité, la concurrence, le réduction des coûts, les techniques de gestion ? La barbarie du quotidien fait naître leur culpabilité au point qu’ils se donnent eux-mêmes la mort devant l’idole implacable qui demande toujours plus.

Ces réalités touchent des millions de personnes vouées au profit de grandes entreprises qui se font la guerre avec un armement humain et qui ne craignent pas les pertes « en matériel ». Ce matériel nous le connaissons bien : ce sont nos proches, nos voisins ; ils travaillent depuis des décennies dans telle ou telle entreprise, ils ont acquis une maison qu’ils paient sur vingt ou vingt-cinq ans grâce à leur travail. Un jour tout s’arrête parce que l’entreprise est délocalisée, parce que l’acheteur étranger n’a rien à faire de cette usine.

Ces jours du souvenir sont des temps d’espérance et de confiance. Chacun peut trouver dans le Christ cette force de vie que, ressuscité, il promet à ceux qui croient en Lui. Cette présence du Christ vivant est offerte à tous, particulièrement à toutes les personnes qui subissent l’absence douloureuse d’un être cher.

Que ces morts ne soient pas oubliés, qu’en regardant tout homme comme créé à l’image de Dieu, les chrétiens disent avec force que « l’authentique développement n’est pas produit par nous mais nous est donné »  (Benoît XVI).

Il nous est donné par le Dieu de la Vie.

Mgr Bernard Ginoux
évêque de Montauban


Source photo: Flickr.

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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 19:50


Le Temps nous égare
Le Temps nous étreint
Le Temps nous est gare
Le Temps nous est train
    

                    Jacques Prévert



               
                    Source photo: Filckr.
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1 novembre 2009 7 01 /11 /novembre /2009 09:34

" Plaignez-vous que les roses ont des épines alors que tous les buissons d'épines n'ont pas de roses."

Proverbe d'origine arabe.



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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 08:36

Aucun cactus n'est à ce point couvert d'épines
qu'il n'ait de place pour une fleur.


Auteur inconnu


 

 

source photo: Flickr.

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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 12:49
" I feel good" est un film britannique de Stephen Walker sorti en décembre 2008. Les  Young@heart  forment une chorale à part. Résidents d'une petite ville du Massachussets, ses membres, âgés de 75 à 93 ans, parcourent le monde pour des concerts où ils interprètent, à leur manière, des classiques du rock, de la pop sans oublier quelques morceaux "punk". Stephen Walker les a suivis pendant plusieurs semaines de répétitions puis sur deux concerts.Cela donne un film où se mélange le style "documentaire", le style "clip vidéo" et le style film "émotion". C'est un film où on rit aux éclats mais où on peut aussi pleurer. Mais ce n'est pas un film triste qui "fout le cafard". Il y a de la vitalité, de l'optimisme, une force qui jaillit de la musique et des personnalités des choristes choisis pour "crever l'écran". A la séance de l'aprés-midi à Gaillac dans le Tarn le dimanche 25 octobre 2009 la salle était pleine. Même chose pour la séance de 18 heures qui n'a commencé en fait qu'à 18h45, le temps que tout le monde trouve une place et que le présentateur nous explique entre autre chose qu'à sa sortie le film a fait ...un bide! Ce qui ne semble plus le cas actuellement vu le monde qu'il y avait dans la salle sur les deux séances. Pour en savoir plus encore, cliquez sur le lien suivant:

http://www.ifeelgood-lefilm.com/




Source photo:Flickr.
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